Intervenants

Laurence Kwark est titulaire d’un Master en sociologie de l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) de Paris.

Parcours professionnel

• Laurence Kwark a été représentante auprès de l’ONU pour Pax Romana ICMICA à Genève, mais également secrétaire générale de cette organisation.

  Au fil de ses 30 ans de carrière, elle s’est engagée pour la promotion des droits humains et le développement social de nombreux pays en développement, surtout en Asie et en Amérique du Sud.

  Elle a travaillé pour de nombreuses organisations comme le CCFD-Terre d’avenir, le Centre Lebret-Irfed et EMPSA.

Juan Manuel Martínez est titulaire d’une licence en ingénierie industrielle de l’Universidad Iberoamericana de Puebla, d’un Master de spécialisation en développement, environnement et sociétés de l’Université Catholique de Louvain (Belgique) et d’un Master officiel européen en gestion de coopératives de la Mondragon Unibertsitatea en 2012.

Parcours professionnel

• Juan Manuel Martínez a dirigé entre 2016 et 2018 le Laboratoire d’innovation économique et sociale de l’Universidad Iberoamericana de Puebla.

  Il a coordonné entre 2009 et 2016 le Master en gestion d’entreprises de l’économie sociale à l’Universidad Iberoamericana de Puebla/la Mondragon Unibertsitatea.

  Il a coordonné entre 2004 et 2009 les programmes d’articulation et d’intervention sociale du Centre de formation sociale et environnementale de l’Universidad Iberoamericana de Puebla.

Soledad Aragón est titulaire d’un doctorat en sociologie du Colegio de México, dans le cadre duquel elle a réalisé un séjour doctoral au Centre d’études sociologiques sur la vie quotidienne et le travail de l’Université autonome de Barcelone. Elle est également titulaire d’un Master en études du travail et d’une licence en sociologie de l’Université autonome métropolitaine (UAM) de Mexico.

Parcours professionnel

• Fonctionnaire nationale chargée de la formalisation de l’emploi au bureau de pays de l’OIT pour le Mexique et Cuba, Soledad Aragón a coordonné le projet de formalisation de l’emploi au Mexique, un poste depuis lequel elle a promu le travail décent.

  Ses principaux domaines de recherche sont le marché du travail et les groupes vulnérables, le syndicalisme, la formalisation de l’emploi, le genre et le travail.

Fadlala Akabani Hneide est titulaire d’une licence en sociologie de la faculté de sciences politiques et sociales de l’Université nationale autonome de México (UNAM). Il est diplômé en développement régional (FCPyS-UNAM), développement communautaire (ENTS-UNAM), histoire économique du Mexique et histoire économique mondiale (MIDE-Banxico), administration publique (Cloître de Sor Juana) et analyse politique à la Chambre des députés.

Parcours professionnel

• Directeur général d’analyse de programmes d’appui au terrain, ministère de l’Agriculture et du Développement rural (2007-2010)

  Sous-directeur des médias nationaux du Sous-secrétariat à la réglementation des médias, ministère de l’Intérieur (2002)

  Directeur de l’assistance et du développement à la Commission mexicaine d’aide aux réfugiés (2001)

  Fadlala Akabani Hneide est l’auteur d’articles de fond publiés dans des journaux tels que La Jornada, El Sol de México et Milenio Diario. Il a donné des conférences dans des universités publiques et privées sur des questions liées à la ville de Mexico et sur l’incidence au Mexique de l’environnement géopolitique du Moyen-Orient.

Diana Alarcón est titulaire d’un doctorat en économie de l’Université de Californie à Riverside.

Parcours professionnel

• Diplômée de plusieurs universités du Mexique et des États-Unis, Diana Alarcón possède une vaste expérience en organisations internationales, principalement au sein du système des Nations Unies.

  À la tête de la Division des politiques et de l’analyse économiques du Département des affaires économiques et sociales de l'ONU (ONU DAES), elle a dirigé l’équipe de rédaction de l’Étude sur la situation économique et sociale dans le monde, la plus ancienne publication internationale consacrée au développement.

  Au sein du Secrétariat des Nations Unies, elle a joué un rôle central dans l’élaboration des contributions analytiques aux processus intergouvernementaux qui ont défini le Programme de développement durable à l’horizon 2030.

  Elle a débuté sa carrière professionnelle en tant que chercheuse dans différentes universités du Mexique et des États-Unis et figure parmi les premières chercheuses à avoir intégré le Système mexicain de recherche (Sistema Nacional de Investigadores, SNI). Elle a depuis lors publié une longue liste d’ouvrages consacrés à différentes questions de développement. Paru en 2018 aux presses universitaires d’Oxford et coédité par José Antonio Ocampo, Anis Chowdury et Diana Alarcón, son dernier ouvrage en date s’intitule The World Economy Through the Lens of the United Nations.

María de la Luz Hernández Trejo est titulaire d’une licence et d’un Master de la faculté d’économie de l’Université autonome de Mexico (UNAM) axés sur la planification, le développement et les politiques économiques.

Parcours professionnel

• Dans le secteur public, María de la Luz Hernández Trejo a occupé des postes de direction dans les domaines des « politiques et programmes de développement économique » et de la « promotion des micro, petites et moyennes entreprises ».

  Au Sous-secrétariat au Développement économique de Mexico, elle a assuré la direction de la réglementation et du développement économique, du développement des entreprises et de la promotion économique, des parcs industriels et des politiques et normes.

  Au sein du ministère du Commerce et du Développement industriel, elle a été directrice de la modernisation commerciale.

  Depuis la direction de la planification stratégique du Fonds pour le développement social de la ville de Mexico (FONDESO), elle a promu le secteur de la banque sociale.

  Elle a en outre enseigné à l’École nationale d’études professionnelles, campus Zaragoza et Acatlán de l’Université autonome de la ville de Mexico (UNAM).